janvier 6, 2020 · Non classé

La place devant la cathédrale Sainte-Sophie est ornée d’une belle statue équestre de Bogdan Chmielnicky, hetman de l’Ukraine. Deux ponts magnifiques franchissent le Dniepr près de Kiev : chacun a plus d’un kilomètre de longueur. Les promenades principales sont le jardin botanique, le jardin de ville, le square de l’Université, celui d’Alexandre, etc. Parmi les édifices publics, les plus remarquables sont : le Palais impérial, l’Hôtel de ville, l’Université, etc. L’Opéra Taras Shevchenko de Kiev. Située au milieu du bassin du Dniepr et des pays slaves, Kiev, « la mère des villes russes » selon les chroniques, fut prédestinée, pour ainsi dire, pour devenir un grand centre politique et intellectuel. Suivant le mythe de fondation, elle dut son origine à trois frères légendaires, Kii, Schtchek et Khoriv, et leur soeur Lybed. Elle existait déjà dès le Ve siècle, et payait le tribut aux Khazares (Les Turkmènes); plus tard, elle devint le chef-lieu d’un pays indépendant et fut en relations avec la Byzance. Oleg qui s’en empara au XIe siècle, en fit, dit-on la capitale de toute la Russie; Sviatoslav et saint Vladimir, ayant soumis les peuples voisins slaves, donnèrent à Kiev la prépondérance politique et militaire. Saint Vladimir y introduisit officiellement le christianisme, qui y avait pénétré depuis longtemps déjà de Constantinople; le grand prince Iaroslav publia le premier code (1028), y fonda des écoles et une bibliothèque. Les cortèges s’étaient formés à l’appel notamment de la CGT, mais aussi avec la participation de «gilets jaunes» qui, jusqu’à présent, avaient regardé les syndicats avec méfiance. Des militants Force ouvrière étaient présents dans ces manifestations. Mais pas la confédération de l’avenue du Maine en tant que telle, qui ne s’est jointe qu’une fois à la CGT pour appeler à manifester depuis le début du quinquennat. C’était en octobre dernier, juste avant que des «gilets jaunes» ne commencent à occuper des ronds-points et manifester chaque samedi. «Nous avons de très bons échos de la mobilisation», s’est félicité Yves Veyrier il y a quelques jours devant la presse. «Nous sommes déterminés à nous mobiliser car nous ne voulons pas être spectateurs, ni caution de décisions qui pourraient être prises en matière sociale à l’issue du grand débat», a-t-il fait valoir.

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